- Eva Baltasar, Permafrost, Verdier, traduit du catalan par Annie Bats.
- Brit Bennett, L’Autre moitié de soi, Autrement, traduit de l’anglais (USA) par Karine Lalechère .
- Colum Maccann, Apeirogon, Belfond, traduit de l’anglais (Irlande) par Clément Baude.
- Antonio Muñoz Molina, Un promeneur solitaire dans la foule, Seuil, traduit du castillan par Isabelle Gugnon.
- Ghazi Rabihavi, Les garçons de l’amour, Serge Safran, traduit du persan par Christophe Balaÿ.
- Jon Kalman Stefansson, Lumière d’été, puis vient la nuit, Grasset, traduit de l’islandais par Eric Boury.
- Charles Yu, Chinatown intérieur, Aux Forges de Vulcain, traduit de l’anglais (USA) par Aurélie Thiria-Meulemans.
Archives de Tag: Serge Safran
2020 / Romans étrangers / 1
- Eva Baltasar, Permafrost, Verdier, traduit par Annie Bats.
- Brit Bennett, L’Autre moitié de soi, Autrement, traduit par Karine Lalechère.
- Jeanine Cummins, American Dirt, Philippe Rey, traduit par Françoise Adelstain et Christine Auché.
- Lucie Ellman, Les Lionnes, Seuil, traduit par Claro.
- Gyrdir Eliasson, La Fenêtre au sud, La Peuplade, traduit par Catherine Eyjolfsson.
- Yaa Gyasi, Sublime royaume, Calman Lévy, traduit par Anne Damour.
- Nazanine Hozar, Aria, Stock, traduit par Marc Amfreville.
- Deborah Levy, Le Coût de la vie & Ce que je ne veux pas savoir, Editions du sous-sol, traduits par Céline Levy.
- Colum McCann, Apeirogon, Belfond, traduit par Clément Baude.
- Antonio Muñoz Molina, Un Promeneur solitaire dans la foule, Seuil, traduit par Isabelle Gugnon.
- Ghazi Rabihavi, Les Garçons de l’amour, Serge Safran, traduit par Christophe Balaÿ.
- Jon Kalman Stefansson, Lumière d’été, puis vient la nuit, Grasset, traduit par Eric Boury.
- Charles Yu, Chinatown, intérieur, Aux Forges de Vulcain, traduit par Aurélie Thiria-Meulemans.
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