• Ahmet Atlan : Madame Hayat, traduit du turc par Julien Lapeyre de Cabanes, Actes Sud.
  • Gabriela Cabezon Camara : Les Aventures de China Iron, traduit de l’espagnol (Argentine) par Guillaume Contré, L’Ogre.
  • Jan Carson : Les Lanceurs de feu, traduit de l’anglais (Irlande du Nord) par Dominique Goy-Blanquet, Sabine Wespieser.
  • Lucy Fricke : Les Occasions manquées, traduit de l’allemand par Isabelle Liber, Le Quartanier.
  • Gouzel Iakhina : Les Enfants de la Volga, traduit du russe par Maud Mabillard, Noir sur Blanc.
  • Robert Jones, Jr. : Les Prophètes, traduit de l’anglais(Etats-Unis) par David Fauquemberg, Grasset.
  • Jonas Hassen Khemiri : La Clause paternelle, traduit du suédois par Marianne Ségol-Samoy, Actes Sud.
  • Reinhard Kaiser-Mühlecker : Lilas rouge, traduit de l’allemand (Autriche) par Olivier Le Lay, Verdier.
  • Leonardo Padura : Poussières dans le vent, traduit de l’espagnol (Cuba) par René Solis, Métailié.
  • Douglas Stuart : Shuggie Bain, traduit de l’anglais(Ecosse) par Charles Bonnot, Globe.
  • Natasha Trethewey : Memorial Drive, traduit de l’anglais(Etats-Unis) par Céline Leroy, L’Olivier.
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L’annonce du Prix Medicis n’a pu avoir lieu cette année comme à l’habitude à La Méditerranée, restaurant de la place de l’Odéon pour cause de confinement sanitaire.

Une séance Zoom enregistrée avec les lauréats et la presse devrait être disponible sous peu sur ce site.

Le prix Medicis du roman français 2020 a été décerné à: Chloé Delaume pour Le Cœur synthétique, publié au Seuil.

Le prix Medicis du roman étranger a été décerné à: Antonio Muñoz Molina pour Un promeneur solitaire dans la foule, traduit du castillan par Isabelle Gugnon, publié au Seuil.

Le prix Medicis de l’essai a été décerné à: Karl Ove Knausgaard pour Fin de combat, traduit du norvégien par Christine Berlioz, Jean-Baptiste Coursaud, Marie-Pierre Fiquet & Laila Flink Thullesen, publié chez Denoël.

  • Olivier Betourné, La Vie comme un livre, Philippe Rey.
  • Luc Bronner, Chaudun, la montagne blessée, Seuil.
  • Johann Chapoutot, Libres d’obéir: Le management, du nazisme à aujourd’hui, Gallimard.
  • Georges Didi Huberman, Eparses, Editions de Minuit.
  • Fang Fang, Wuhan, ville close, Stock.
  • Christophe Granger, Joseph Kabris ou les possibilités d’une vie, Anamosa.
  • Karl Ove Knausgaard, Fin de combat, Denoël.
  • Jean Baptiste Morizot, Raviver les braises du vivant, Actes Sud.
  • Nathalie Léger, Suivant l’azur, POL.
  • Sandra Lucbert, Personne ne sort les fusils, Seuil.
  • Benoît Peeters, Sandor Ferenczi, Flammarion.
  • Muriel Pic, Affranchissements, Seuil.
  • Pascal Quignard, La Réponse à Lord Chandos, Galilée & L’Homme aux trois lettres, Grasset.
  • Chloé Delaume, Le Cœur synthétique, Seuil.
  • Pierre Ducrozet, Le Grand vertige, Actes Sud.
  • Laure Gouraige, La Fille du père, POL.
  • Hervé Le Tellier, L’Anomalie, Gallimard.
  • Celia Levi, La Tannerie, Tristram.
  • Jean-Pierre Martin, Mes Fous, L’Olivier.
  • Diane Mazloum, Une Piscine dans le désert, JC Lattès.
  • Laurent Mauvignier, Histoires de la nuit, Minuit.
  • Eric Reinhardt, Comédies françaises, Gallimard.
  • Camille de Toledo, Thésée, sa vie nouvelle, Verdier.
  • Eva Baltasar, Permafrost, Verdier, traduit du catalan par Annie Bats.
  • Brit Bennett, L’Autre moitié de soi, Autrement, traduit de l’anglais (USA) par Karine Lalechère . 
  • Colum Maccann, Apeirogon, Belfond, traduit de l’anglais (Irlande) par Clément Baude.
  • Antonio Muñoz Molina, Un promeneur solitaire dans la foule, Seuil, traduit du castillan par Isabelle Gugnon.
  • Ghazi Rabihavi, Les garçons de l’amour, Serge Safran, traduit du persan par Christophe Balaÿ.
  • Jon Kalman Stefansson, Lumière d’été, puis vient la nuit, Grasset, traduit de l’islandais par Eric Boury.
  • Charles Yu, Chinatown intérieur, Aux Forges de Vulcain, traduit de l’anglais (USA) par Aurélie Thiria-Meulemans.
  • Eva Baltasar, Permafrost, Verdier, traduit par Annie Bats.
  • Brit Bennett, L’Autre moitié de soi, Autrement, traduit par Karine Lalechère.
  • Jeanine Cummins, American Dirt, Philippe Rey, traduit par Françoise Adelstain et Christine Auché.
  • Lucie Ellman, Les Lionnes, Seuil, traduit par Claro.
  • Gyrdir Eliasson, La Fenêtre au sud, La Peuplade, traduit par Catherine Eyjolfsson.
  • Yaa Gyasi, Sublime royaume, Calman Lévy, traduit par Anne Damour.
  • Nazanine Hozar, Aria, Stock, traduit par Marc Amfreville.
  • Deborah Levy, Le Coût de la vie & Ce que je ne veux pas savoir, Editions du sous-sol, traduits par Céline Levy.
  • Colum McCann, Apeirogon, Belfond, traduit par Clément Baude.
  • Antonio Muñoz Molina, Un Promeneur solitaire dans la foule, Seuil, traduit par Isabelle Gugnon.
  • Ghazi Rabihavi, Les Garçons de l’amour, Serge Safran, traduit par Christophe Balaÿ.
  • Jon Kalman Stefansson, Lumière d’été, puis vient la nuit, Grasset, traduit par Eric Boury.
  • Charles Yu, Chinatown, intérieur, Aux Forges de Vulcain, traduit par Aurélie Thiria-Meulemans.
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